Il existe dans la nature un réseau de connexion époustouflant. Nous en sommes peu conscients, car nous considérons souvent les autres formes de vie (fleurs, arbres, oiseaux, papillons, fourmis ou verres de terre…) comme inférieures à l’espèce humaine. Il y a, pourtant, une intelligence au-delà de notre conscience humaine qui a établi des voies de communication, d’interaction et de connexions fines, variées et complexes entre tous les êtres de la nature.
Vivons notre journée dans cette conscience. Posons des questions à la vie, aux autres espèces de la nature que nous croisons sur notre chemin : « Qu’ont-ils à nous apprendre, à nous communiquer pour que nous puissions grandir en conscience ? » Restons humbles et ouverts d’esprit pour apprendre.
Et pourquoi pas, lisons un livre à ce sujet ou regardons un film, un reportage… Voici une référence passionnante :
La présentation du livre en quatrième de couverture est assez parlante. C’est pourquoi, je vous la cite : « Saviez-vous que les arbres contribuent à la formation des nuages ? Que les loups peuvent modifier le cours des rivières ? Que le sort du sanglier dépend du ver de terre ? Dans la nature, tout est lié – comme les rouages d’une grande horloge. Aussi la moindre modification a-t-elle des répercussions insoupçonnées. Observateur scrupuleux et conteur passionné, Peter Wohlleben nous dévoile ces liens subtils qui unissent animaux et plantes, forêts et rivières, montagnes et climat… Il nous met aussi en garde contre une intervention humaine imprudente dans cette mécanique dont nous ne maîtrisons pas tous les ressorts : les meilleures intentions du monde peuvent produire des catastrophes. »
Si vous avez peu de temps pour lire, regardez au moins cette courte vidéo sur YouTube:
En vous souhaitant une très belle journée connectée aux trésors de la nature
En regardant ces deux belles roses, je me dis « Quelle merveille ! » Leur existence et leur présence devant mes yeux est un véritable Miracle, surtout à cette saison lorsque le temps est encore gris et peu de fleurs réjouissent nos regards. Avec combien d’amour la nature les a crée pour qu’elles soient aussi délicates, aussi raffinées. En effet, tout est possible à l’amour.
Par amour pour quelqu’un nous sommes capables de nous dépasser. Par amour pour une activité qui nous passionne, nous sommes capables de devenir des génies. Par amour pour une cause, pour un idéal, nous sommes capables de nous relever mille et une fois et enfin déplacer des montagnes… Connectons-nous à cette force de l’Amour (Avec un grand « A ») qui est en nous et allons de l’avant. N’abandonnons pas nos rêves sous prétexte que c’est dur, que ça nous paraît impossible ou trop utopiste. Allons de l’avant par Amour et pour l’Amour, et l’Amour sera avec nous !
Ressource inspirante
Aujourd’hui, je vous propose de découvrir un film qui relate le miracle d’un enfant aveugle, aidé par une jeune femme d’apparence fragile, elle aussi, presque aveugle. Le titre du film est « The Miracle Worker », traduit en français par « Miracle en Alabama ». Il a été réalisé d’après les récits autobiographiques d’Helen Keller , souvent éditées sous le format d’un livre jeunesse.
Vous pouvez voir le film complet en anglais en suivant le lien YouTube ci-dessous, même si la qualité de la vidéo n’est pas très bonne. Si vous souhaitez joindre ce film à votre bibliothèque et bénéficier d’une meilleure qualité, je vous joints les références amazone de ce dernier ( en anglais et en français). ainsi que les références du livre jeunesse en français.
Derrière cette force de l’univers qui nous pousse à nous dépasser, à nous améliorer, à lutter pour grandir, il y a tout simplement le mot Amour sous une forme ou sous une autre.
La santé, c’est sans aucun doute notre bien le plus précieux. Notre corps est comme un compagnon fidèle qui nous permet de réaliser tant de choses, de concrétiser nos rêves, voire de nous surprendre avec ses capacités insoupçonnables.
Connaissons-nous suffisamment notre corps et surtout ses liens étroits avec notre esprit ? Prenons le temps d’écouter son langage à travers ses reactions, ses sensations, ou ses symptômes. Qu’est-ce que nous souhaitons améliorer pour notre corps : sa posture, son poids, ses performances, son niveau d’énergie ou de souplesse, son apparence, les fonctions d’un ou plusieurs organes…? Essayons de comprendre les causes des manifestations actuelles ? Puis, cherchons comment cheminer vers les améliorations souhaitées et posons les premiers pas dans ce sens.
Un livre qui pourrait vous aider dans ce travail est celui de Lise Bourbeau « Ton corps dit: « Aime-toi ! ». De façon extrêmement pratique et limpide, l’auteur révèle que tout problème d’ordre physique n’est que le reflet d’un problème sur le plan émotionnel et le plan mental. Soigner seulement le physique ne peut apporter qu’une solution temporaire . Ce livre nous fait prendre conscience qu’il est si important de soigner nos trois corps ( physique, émotionnel et mental) afin de reprendre contact avec notre corps spirituel.
Que la Santé parfaite vous accompagne à chaque instant de votre vie!
Voici une plante ailée qui rend tant de service à nos maisons. En plus d’embellir notre environnement, elle améliore grandement la qualité de l’air que nous respirons car il s’agit d’une plante dépolluante. Si seulement on était plus conscient de tous les services que chaque être vivant (minéral, plante, animal ou humain ) est venu rendre sur cette terre. Être en mesure et dans les bonnes conditions pour rendre ce service, c’est la plus grande joie de toute créature. C’est son accomplissement. En être empêché est toujours source de souffrance.
Aujourd’hui, si vous voyez une souffrance en vous ou à l’extérieur de vous (malheureusement, cela ne manque pas sur cette terre), essayez de voir cette souffrance sous un angle un peu particulier. Posez-vous la question : quel est le service « bloqué » derrière cette souffrance et qui lutte pour éclore. Et quelles sont les qualités qui cherchent à se développer à travers telle ou telle expérience négative qui nous fait souffrir ? Est-ce la persévérance, la compassion, l’humilité, la détermination, la force de l’âme, la discipline, la confiance, la foi, le pardon, la générosité du cœur, la gratitude… ? Soyons tout simplement observateur. En même temps, rendons grâce pour tous les services apportés par chaque créature.
Si vous souhaitez connaître mieux le service dépolluant de certaines plantes d’intérieur, vous pouvez jetez un œil dans quelques ouvrages à ce sujet, afin que vos plantes soit toujours bien entretenue, heureuses et pleinement efficaces dans leur précieux service. Voici pour compléter un reportage intéressant sur YouTube concernant les plantes dépolluantes si importantes pour apporter une atmosphère zen à notre intérieur.
Belle journée de service, d’accomplissement et d’air pur pour toutes et pour tous.
Ces magnifiques fleurs rose pâle couvertes de gouttelettes de rosée ont pour moi le visage de la compassion. Qu’est-ce que la compassion, sinon l’application de l’amour dans la vie. D’après le philosophe Peter Deunov, la compassion est enfant de l’Amour. Par la compassion, l’homme se libère peu à peu des liens de son passé parce que la compassion aide à se pardonner autant à soi même qu’aux autres.
Aujourd’hui prenons un moment d’introspection et cherchons quelles sont les reproches que nous nous adressons à nous-mêmes. Quel est notre regard sur nous-mêmes ? Comment nous jugeons-nous ? Puis, une fois nos faiblesse considérée, portons un regard d’amour et de compassion vers l’être humain dans la peau duquel nous habitons, depuis l’Être Divin de tout Amour que nous sommes. Faisons de même envers nos proches ou ceux avec qui nous avons des difficultés relationnelles.
Ressource inspirante
Connaissez-vous la déesse de la Compassion dans la tradition spirituelle de Chine ? Elle s’appelle Kuan Yin et incarne le pouvoir du féminin sacré, toutes les qualités divines de la femme (un peu comme Marie, pour les chrétiens, mais avec un contexte historique différent). J’aime beaucoup cet être, inspirant tant par son histoire que par ses représentations. Un de mes livres préférés sur Kuan Yin est celui de Daniela Schenker « Kuan Yin – Accessing the Power of the Divine Feminine ». ( Je n’ai pu trouvé qu’une référence anglaise, celle que j’ai lu moi-même, mais n’hésitez pas à me faire savoir s’il existe une référence française). C’est un livre où vous trouverez de très beaux textes et invocations à Quan Yin, mais aussi de magnifiques aquarelles de ses différentes formes de représentation et d’apparition.
Je vous souhaite une magnifique journée sur les ailes de la Compassion et de l’Amour.
Êtes-vous un amoureux de la marche ou plutôt un sédentaire ? Et si chaque petit pas de notre « marche » était une promesse pour l’avenir, une opportunité sans précédent pour grandir, une occasion unique pour aimer.
D’après un proverbe touareg, mieux vaut marcher sans savoir où aller que rester assis sans rien faire. En effet, en marchant, on se découvre.
Aujourd’hui, prêtons attention à la marche, au sens premier du terme. L’exercice du jour consistera d’aller à pieds quelque part où vous n’êtes jamais encore allé. Profitez de tout votre voyage et pas seulement de la destination finale. Observez, contemplez, réfléchisses, rêvassez. Accueillez cette activité comme une petite aventure riche de sens. Puis, notez vos découvertes, exprimez vos ressentis, posez vos questions à la vie… dans votre journal intime, votre carnet de croquis…
Si vous recherchez des destinations plus lointaines et dépaysantes pour marcher pendant vos vacances, n’hésitez pas à vous en inspirer du très beau livre de Nicolas Gardon et Sylvain Bazin « Les plus beaux endroits pour MARCHER », que j’ai déjà présenté dans mon article « Un livre pour Noël – à parcourir, à savourer, à offrir » .
Et pour les plus motivés, les plus amoureux de la marche et les plus enthousiaste pour vivre leur vie à pleins poumons, voici une référence d’un beau défi à se lancer, à petits pas, pour de grandes marches.
Rêves, obstacles, efforts, patience et persévérance… voilà ce que m’inspire ce paysage de bord de mer. Certains obstacles peuvent être des protections, à nous de les apprivoiser. Certains efforts peuvent être des leviers, à nous de les accueillir. Certains rêves peuvent sembler au-delà de nos capacités. À nous d’y croire et de poser des actions pour nous y approcher.
Avez-vous déjà rédigé votre liste de désirs ou de rêves impossibles ? Si non, c’est le moment de le faire ! Puis, rédigez une lettre avec des questions à la Vie sur comment vos rêves les plus fous peuvent-ils se réaliser ? Écrivez toutes vos questions et réflexions à leur sujet ( rêve par rêve ). Rangez cette lettre à un endroit bien choisi où vous pourriez la retrouver un an ou trois, cinque, dix ans… plus tard.
Choisissez un de ces grands rêves qui vous semblent impossibles à réaliser et déterminez-vous à marcher tous les jours dans son sens, à communiquer avec la Vie à son sujet ( à travers un journal intime, la méditation ou la prière ), à sortir de votre zone de confort au nom de son accomplissement, à poser chaque petite action de tout votre cœur.
Aujourd’hui, pour aller plus loin, je vous suggère à découvrir le livre de Dr Jeanine Fontaine « Médecin des trois corps », relatant les découvertes de cette médecin cardiologue, anesthésiste et réanimateur auprès de guérisseurs philippins. Vous verrez qu’il y a de quoi faire ébranler, sinon évoluer sa conception de la médecine traditionnelle, ainsi que nos certitudes sur la vie.
En ce début de semaine, j’ai envie de prendre mon temps. Prendre mon temps de voir le paysage entre deux troncs d’arbres. Prendre le temps d’entendre le silence entre deux notes de musique. Prendre le temps de respirer entre deux tâches quotidiennes. Prendre le temps d’aimer entre deux mots bienveillants et tendres…
Aujourd’hui prenons notre temps comme s’il n’était pas compté, comme si l’éternité s’était invitée dans notre vie, pour qu’on la remplisse de ce que nous aimons le plus. Vous surprendriez-vous à faire ou à vivre des choses que vous n’aviez pas programmées, mais qui ont du sens pour vous ?
Pour ma part, la semaine dernière, en prenant mon temps entre deux tâches quotidiennes, je me suis surprise de balayer du regard les livres de ma bibliothèque. Il y en avait une multitude dont j’avais oublié l’existence sur mes étagères.
Cela fait une éternité que je ne l’avais pas feuilleté. Alors, je l’ai ouvert au hasard, et mon regard s’est attardé sur un texte intitulé
« Prendre le temps »
Ô oui, prenez de votre temps. Prenez le temps de rire, c’est la musique de l’âme. Prenez le temps de jouer, c’est le secret d’une jeunesse renouvelée. Prenez le temps de lire, c’est la fontaine de la sagesse. Prenez le temps de penser, c’est la plus grande force sur terre. Prenez le temps de vivre la charité, c’est la clé du ciel. Prenez le temps d’aimer et d’être aimé, c’est un privilège donné par la vie. Prenez le temps d’être aimable, c’est un chemin vers le bonheur. Prenez le temps de travailler, c’est le prix du succès. Prenez le temps de dormir, c’est la condition pour tenir. Prenez le temps de donner, c’est un gage du recevoir. Prenez le temps de vivre, c’est le passeport vers le plaisir d’être. Prenez le temps de réfléchir, c’est la source du renouvellement. Prenez le temps de vous positionner, c’est le moyen de se respecter. Prenez le temps d’écouter, c’est amplifier l’échange. Prenez le temps de respirer, pour recevoir la vie à pleine vie.
Jacques Salomé, Lettres à l’intime de soi
Écrire votre propre poésie « Prendre le temps »
En réalité, cette liste de « prenez le temps » peut être prolongée à l’infini. Alors, écrivez encore au moins 4 vers (les vôtres), commençant avec les mots « prenez le temps ».
Si vous souhaitez découvrir d’autres écrits de Jacques Salomé, voici trois références que j’aime particulièrement ( en format « livres de poche », mais vous pouvez, bien sûr, trouver les grands formats en librairie ou sur amazone.com) :
Un capteur photographique est un composant
électronique photosensible
servant à convertir un rayonnement électromagnétique (ultra-violet, visible
ou infra-rouge) en un signal électrique analogique. Ce signal est
ensuite amplifié, puis numérisé par un convertisseur
analogique-numérique et enfin traité pour obtenir une image numérique.
(http://fr.wikipedia.org/wiki/Capteur_photographique)
En réalité, le capteur c’est « la rétine » de votre appareil photo. Il est situé au sein du boîtier. C’est aussi, très souvent, la partie la plus chère à fabriquer. De façon très générale, plus vous augmentez sa taille, plus l’appareil va coûter cher.
Le capteur est une surface sensible à la lumière (dans le passé, on a utilisé à cet effet des plaques de verre, des pellicules, et maintenant on est à l’usage de capteurs numériques). Le capteur comporte des cellules photosensibles qui captent et convertissent les rayons de lumière en charges électriques. Il correspond à la rétine de nos yeux. (Vous croyiez que les capteurs numériques sont une invention du génie humain – rien du tout – on a tout simplement copié la nature). L’image sera ensuite enregistrée sur la carte mémoire, sous la forme d’un fichier numérique (tout comme l’image perçue par l’œil est enregistrée dans des zones spécifiques de notre cerveau).
Qu’est-ce que la définition ?
Les capteurs des appareils photos peuvent différer selon le nombre de cellules photosensibles, ce qui détermine la définition de chaque capteur. La définition se mesure en mégapixels (millions de points). Plus il y a de cellules photosensibles sur le capteur (ou autrement dit, plus il y a de mégapixels), plus l’image sera précise si vous faites des tirages en grandes dimensions.
Lors du choix de votre appareil photo, vous pouvez vous poser la question si son nombre de pixels est suffisant. Tout dépend de l’usage que vous envisagez faire de vos photos. Si vous n’avez pas l’intention de réaliser des impressions de vos photos sur de grands formats, ne vous laissez pas impressionner par le nombre de pixels. Un appareil photo avec un capteur de 12 à 15 mégapixels permet de réaliser des tirages de qualité sur un papier au format 30 x 40 cm.
Un autre paramètre important: le format du capteur
Mise à part la définition, il existe un autre paramètre important caractérisant le capteur : son format (ou la taille de sa surface).
Un nombre de pixels important sur une toute petite surface de capteur ne donnera pas le même résultat que le même nombre de pixels sur une plus grande surface. Dans le premier cas, les très nombreux pixels seront serrés comme des sardines. Dans le deuxième cas, ils auront plus de place et les cellules photosensibles capteront la lumière avec plus de précision. (Il en est de même quand on entasse plein de gens dans un petit immeuble ou une ville à taille limitée, mais ceci n’est qu’un aparté). D’où l’importance de la taille (le format) du capteur. Voici un exemple : un compact à 12 mégapixels (avec un tout petit capteur) et un réflexe à 12 mégapixels (avec un capteur plus grand) ne donneront pas la même qualité d’image, car les cellules photosensibles du réflex, ayant plus d’espace sont plus grandes et capteront la lumière avec plus de précision. Ces dernières donneront des images avec moins de bruit et de meilleure qualité générale (de point de vue technique)
Mais voyons quels sont ces différents formats (ou tailles)
de capteurs aujourd’hui et en quoi ce paramètre peut-il être important
dans votre choix de boîtier.
Les différentes tailles de capteurs ( les différents formats )
Dans la description technique des différents boîtiers d’appareils photos, vous rencontrez des indications de type : Capteur APS-C, Full Frame (plein format), Micro 4/3, … et vous vous demandez à quoi bon cela correspond-il et quelle importance cela peut-il avoir pour le choix de votre matériel ?!
Voici des éclairages à ce sujet qui peuvent vous être très utiles. Voyons, tout d’abord les trois formats, les plus importants à connaître :
Le format 24 x 36 mm, dit encore « plein format » ou « full frame ». Il est disponible sur des boîtiers professionnels de reflexes haut-de-gamme
Les formats APS : ce sont des capteurs de taille assez grande, mais plus petite que le plein format
APS-H : 1.3 fois plus petit que le plein format (peu présent aujourd’hui).
APS-C : c’est le format le plus fréquent aujourd’hui (présent chez la plupart des appareils réflexe et un bon nombre d’hybrides). Il est 1.5 fois plus petit que le plein format
Le format Micro 4/3 : 2 fois plus petit que le plein format et de proportion 4/3 et non plus 3/2
Il existe plein d’autres formats de capteurs sur les appareils photos compacts et bridges qui sont nettement plus petits, sur lesquelles je ne vais pas m’attarder, du fait que la qualité est nettement moindre par rapport aux capteurs de plus grande taille.
La taille (le format) du capteur a des conséquences sur les
images que vous allez prendre, mais aussi sur le choix de votre objectif.
Pourquoi ? Parce que le format du capteur influence la
longueur focale apparente.
Qu’est-ce qu’une longueur focale ?
La longueur focale (ou tout simplement « la focale »)
est une des caractéristiques principales d’un objectif. Elle se mesure en
millimètres et représente la distance qui sépare un sujet situé à l’infini du
centre optique de l’objectif.
La longueur focale d’un objectif (appelée également « distance
focale » ou « focale ») ne changera pas si vous montez le même
objectif sur différents appareils. En revanche, la longueur focale apparente
changera avec un capteur de format différent, pour un même objectif utilisé
(avec une longueur focale constante).
Plus votre capteur est de petit format, plus la focale apparente augmente. Cela veut dire que plus votre sujet sera grossi par rapport à la réalité, alors que l’angle de prise de vue sera, au contraire, diminué.
Admettons que vous souhaitez prendre une photo grand angle (un paysage dans son ensemble d’objets relativement rapprochés dont vous ne pouvez pas vous éloigner beaucoup). Dans ce cas, vous avez besoin d’un objectif à longueur focale courte. Pour les capteurs plus petits que le « plein format », les objectifs grand-angle seront moins grand angle (c’est, donc, un désavantage pour une photo de paysage).
Si vous souhaitez prendre en photo un objet rapproché avec un cadrage plus serré, dans ce cas l’effet de téléobjectif sera potentialisé par un format de capteur plus petit que le « plein format ». C’est, donc, un avantage pour la photo animalière.
Voilà pourquoi le format du capteur peut être un facteur important dans le choix de votre boîtier d’appareil photo et de vos objectifs.
En réalité la longueur focale indiquée sur l’objectif est moins importante que l’angle de vue réel sur votre appareil, une fois l’objectif en place. Prenez en considération le format de votre capteur dans le choix de votre matériel photo (boîtier et objectifs).
La Mer ! Même en hiver quand ses plages sont vides et ses eaux se font peu accueillantes, la mer évoque pour moi les vacances. Elle m’invite à faire une pause, à contempler quelques instants le va-et-vient de ses vagues, à faire le point sur ma vie, à réfléchir sur mes projets. Est-ce pour continuer à naviguer plus en conscience, est-ce pour m’appeler à de nouveaux voyages ?… Quoi qu’il en soit ce temps de pause est souvent nécessaire pour mieux reprendre notre route.
Osons prendre quelques jours de vacances quand nous sentons que cela nous est vraiment nécessaire. Osons briser un peu la routine, pour mieux reprendre nos projets en les faisant évoluer.
Puisque j’applique tous les conseils que je donne à mes lecteurs, moi-aussi, je prendrai quelques jours de pause avec mon défi de 365 jours de photographie zen. Me voilà presque à la moitié de mon parcours, me voilà remplie de nouvelles idées pour faire évoluer cette aventure. 365 jours, c’est long et c’est facile de entrer dans une routine. Mais non ! Justement, faisons de ce défi une opportunité de s’élever par l’art encore plus active, plus inspirante et plus passionnante !
Alors, rendez-vous dans dix jours avec la suite du défi de 365 jours de photographie zen qui vous réserve quelques surprises !
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