S’émerveiller des choses simples

Oiseau au bord de la Seine et citation

Jour 173 du défi 365 jours de photographie zen

Deux oiseaux marchant au bord de la Seine
« Le monde ne mourra jamais par manque de merveilles, mais par manque d’émerveillement. »
Gilbert Keith Chesterton

Il y a tant de merveilles dans la vie, même dans les choses les plus simples…, mais avons-nous les yeux pour les percevoir ? Même en hiver, lorsque la nature dort profondément et le soleil cache ses rayons derrière les édredons de nuages, même à Paris où la saison froide sans neige ne montre que les os gris de la ville, on peut toujours trouver quelque chose pour s’émerveiller.

Et vous, qu’avez-vous trouvé pour vous émerveiller au cours de la journée ? Si vous avez du mal, regardez la suite de mon article. Peut-être, trouveriez-vous une source supplémentaire d’émerveillement.

Aujourd’hui, je voudrais partager avec vous le travail d’un de mes photographes préférés, un homme éternellement émerveillé: Vincent Munier. C’est, sans aucun doute, quelqu’un qui a bien compris « le jeu de la vie » , car il vit pleinement ses rêves et n’en démord pas.

Je vous joints une vidéo libre d’accès sur YouTube, pour découvrir ce merveilleux photographe. Si vous n’avez pas beaucoup de temps, prenez au moins 5 ou 10 minutes pour regarder ne serait-ce qu’un fragment de cette belle vidéo, découvrir le travail de Vincent Munier et vivre quelques minutes d’émerveillement. Et qui sait, peut-être auriez-vous l’envie de la voir en entier sinon tout de suite, en soirée, ou un jour où vous vous sentirez plus libre. C’est difficile d’y rester insensible, car ces photographies vibrent de beauté, d’amour pour la nature, de vécus authentiques et d’un perpétuel émerveillement.

Si vous avez envie d’avoir une trace de l’œuvre de ce photographe dans votre bibliothèque ou si vous cherchez une idée cadeau pour quelqu’un passionné par la nature et la photographie, je vous conseille ces deux ouvrages:

En vous souhaitant une journée et une année pleine d’émerveillement

Stella

Le Jeu de la Vie

Cerf-volant dans le ciel et citation sur la vie

J 172 du défi 365 jours de photographie zen

Aujourd’hui questionnons-nous sur notre rapport au jeu. Sommes-nous trop sérieux ou savons-nous encore jouer avec amour, passion, joie et enthousiasme ?

Ma ressource inspirante du jour est un tout petit livre de Florence Scovel Schinn : «  Le Jeu de la Vie et comment le jouer. » Sa petite taille fait qu’il se lit facilement et rapidement, mais le bénéfice que vous en tirerez est immense. Attendez-vous à quelques miracles si vous osez expérimenter et appliquer ses conseils. Un vrai petit bijou à mettre entre toutes les mains, car il garde des clés magiques pour manifester simplement, efficacement et rapidement ce dont nous avons besoin, tout en apportant beaucoup de compréhension sur ce « Jeu » extraordinaire qu’est la Vie. 

En guise de présentation détaillée, voici une citation de l’auteur, qui nous rappelle que l’art le plus important, celui dont nous sommes tous concernés et que nous devons, à tout prix, maîtriser, c’est l’ART DE PENSER:

«  Penser devrait atteindre à la perfection d’un art. Celui qui arrive à cette maîtrise doit avoir grand besoin de ne peindre sur la toile de son esprit que selon le dessein divin; il peint ses tableaux avec de magistrales touches de puissance et de décision, avec la foi parfaite qu’il n’y a point de pouvoir capable d’en altérer la perfection, sachant qu’ils se manifesteront dans sa vie, l’idéal devenant le réel. Tout pouvoir est donné à l’homme (par la pensée juste) de réaliser son ciel sur la terre et voilà le but du jeu de la vie. »

Florence Scovel Schinn

En vous souhaitant une vie pleine de merveilles

Stella

Bonne Année 2020

Bonne Année

Jour 171 du défi 365 jours de photographie zen

2020 : Une nouvelle année à découvrir, à aimer et à remplir de beauté !
Allons plus loin ! 
Faisons évoluer quelque chose dans nos vies !
Regardons le monde autrement, plus positivement, comme un champs, plein d’opportunités, de possibles, de cadeaux…
Rêvons de nouveaux horizons et partons à leur conquête !
Écrivons de nouvelles histoires, des poésies et des chants pour enchanter notre quotidien !
Cultivons la Joie et le Bonheur durable !
Savourons chaque instant !
Que l’AMOUR, la PAIX, la SANTÉ et la PROSPÉRITÉ soient nos inséparables compagnons de route !

Chers amis lecteurs,

En ce début de l’année 2020, je suis poussée par le désir de faire évoluer différents domaines dans ma vie. Mon défi de 365 jours de photographie zen n’échappe pas à cette impulsion de mon âme.

Alors, dès demain, vous découvrirez bien plus qu’une photographie et un exercice zen du jour. J’ai décidé de vivre plus pleinement mon défi, d’ajouter plus de magie et de cheminer vers plus d’accomplissement dans ma vie.
Pour cela:

  • j’ajouterai à mes photographies une citation positive pour chaque journée ( à savourer, à méditer, à expérimenter ou à partager avec mes proches), et
  • je vous ferai part d’une ressource inspirante par jour : livre, musique, film inspirant, ressource interactive et créative, jeux, histoires ou poésies …
    Autant d’idées et d’outils pour: 
  • nourrir notre propre créativité et celle de nos enfants, 
  • vivre zen au quotidien,
  • savourer un art qui nous élève
  • trouver de merveilleuses idées cadeaux qui influenceront positivement notre vie et la vie de ceux à qui nous les offrirons.

Ma ressource inspirante de la journée est mon tout nouveau « Bullet Journal – My Happy Life ».

En ce début d’année nous sommes nombreux à tenir dans nos mains un tout nouveau journal ou agenda, encore vierge de nos écrits, mais déjà plein de rêves, de projets et de promesses.

Connaissez-vous le principe du « Bullet Journal » ? C’est un système d’organisation et de gestion des tâches. C’est aussi une façon créative d’organiser notre temps, mais aussi nos idées, nos rêves, nos projets, nos objectifs pour l’année, le mois ou la semaine. C’est un concept d’un super-agenda ultra-personnalisable, que vous pouvez moduler à votre image.

Pour moi, il s’agit de un outil qui me permet de vivre plus en conscience, d’ajouter à mon emploi du temps non seulement les événements planifiés, mais aussi des tableaux de vision pour chaque mois ou pour l’année, une liste de gratitude pour chaque semaine, ma roue des priorités, mes buts, le meilleur de chaque semaine … et tant d’autres choses qui me tiennent à cœur. Il m’aide beaucoup à vivre une vie magique et plus consciente. Voici celui que j’ai choisi pour moi, mais il existe tant d’autres modèles. Écoutez votre cœur pour choisir celui qui vous convient et qui vous donnera des ailes en le remplissant.

Alors, en route pour une Merveilleuse Année 2020 !

Bien à vous

Stella

Que faut-il savoir sur le capteur (« la rétine ») de votre appareil photo ?

Ancien appareil rétro avec une pellicule

Qu’est-ce qu’un capteur photographique ?

Capteur numérique
Image par Eugen Visan de Pixabay

Voici la définition de Wikipédia :

Un capteur photographique est un composant électronique photosensible servant à convertir un rayonnement électromagnétique (ultra-violet, visible ou infra-rouge) en un signal électrique analogique. Ce signal est ensuite amplifié, puis numérisé par un convertisseur analogique-numérique et enfin traité pour obtenir une image numérique. (http://fr.wikipedia.org/wiki/Capteur_photographique)

En réalité, le capteur c’est « la rétine » de votre appareil photo. Il est situé au sein du boîtier. C’est aussi, très souvent, la partie la plus chère à fabriquer. De façon très générale, plus vous augmentez sa taille, plus l’appareil va coûter cher.

Le capteur est une surface sensible à la lumière (dans le passé, on a utilisé à cet effet des plaques de verre, des pellicules, et maintenant on est à l’usage de capteurs numériques). Le capteur comporte des cellules photosensibles qui captent et convertissent les rayons de lumière en charges électriques. Il correspond à la rétine de nos yeux. (Vous croyiez que les capteurs numériques sont une invention du génie humain – rien du tout – on a tout simplement copié la nature). L’image sera ensuite enregistrée sur la carte mémoire, sous la forme d’un fichier numérique (tout comme l’image perçue par l’œil est enregistrée dans des zones spécifiques de notre cerveau).

Qu’est-ce que la définition ?

Image par David Zydd de Pixabay

Les capteurs des appareils photos peuvent différer selon le nombre de cellules photosensibles, ce qui détermine la définition de chaque capteur. La définition se mesure en mégapixels (millions de points). Plus il y a de cellules photosensibles sur le capteur (ou autrement dit, plus il y a de mégapixels), plus l’image sera précise si vous faites des tirages en grandes dimensions.

Lors du choix de votre appareil photo, vous pouvez vous poser la question si son nombre de pixels est suffisant. Tout dépend de l’usage que vous envisagez faire de vos photos. Si vous n’avez pas l’intention de réaliser des impressions de vos photos sur de grands formats, ne vous laissez pas impressionner par le nombre de pixels. Un appareil photo avec un capteur de 12 à 15 mégapixels permet de réaliser des tirages de qualité sur un papier au format 30 x 40 cm.

Un autre paramètre important: le format du capteur

Mise à part la définition, il existe un autre paramètre important caractérisant le capteur : son format (ou la taille de sa surface).

Image par Thomas Baca de Pixabay

Un nombre de pixels important sur une toute petite surface de capteur ne donnera pas le même résultat que le même nombre de pixels sur une plus grande surface. Dans le premier cas, les très nombreux pixels seront serrés comme des sardines. Dans le deuxième cas, ils auront plus de place et les cellules photosensibles capteront la lumière avec plus de précision. (Il en est de même quand on entasse plein de gens dans un petit immeuble ou une ville à taille limitée, mais ceci n’est qu’un aparté). D’où l’importance de la taille (le format) du capteur. Voici un exemple : un compact à 12 mégapixels (avec un tout petit capteur) et un réflexe à 12 mégapixels (avec un capteur plus grand) ne donneront pas la même qualité d’image, car les cellules photosensibles du réflex, ayant plus d’espace sont plus grandes et capteront la lumière avec plus de précision. Ces dernières donneront des images avec moins de bruit et de meilleure qualité générale (de point de vue technique)

Mais voyons quels sont ces différents formats (ou tailles) de capteurs aujourd’hui et en quoi ce paramètre peut-il être important dans votre choix de boîtier.

Les différentes tailles de capteurs ( les différents formats )

Schéma des formats de capteurs numériques

Dans la description technique des différents boîtiers d’appareils photos, vous rencontrez des indications de type : Capteur APS-C, Full Frame (plein format), Micro 4/3, … et vous vous demandez à quoi bon cela correspond-il et quelle importance cela peut-il avoir pour le choix de votre matériel ?!

Voici des éclairages à ce sujet qui peuvent vous être très utiles. Voyons, tout d’abord les trois formats, les plus importants à connaître :

  • Le format 24 x 36 mm, dit encore « plein format » ou « full frame ». Il est disponible sur des boîtiers professionnels de reflexes haut-de-gamme
  • Les formats APS : ce sont des capteurs de taille assez grande, mais plus petite que le plein format
  • APS-H : 1.3 fois plus petit que le plein format (peu présent aujourd’hui).
  • APS-C : c’est le format le plus fréquent aujourd’hui (présent chez la plupart des appareils réflexe et un bon nombre d’hybrides). Il est 1.5 fois plus petit que le plein format
  • Le format Micro 4/3 : 2 fois plus petit que le plein format et de proportion 4/3 et non plus 3/2
  • Il existe plein d’autres formats de capteurs sur les appareils photos compacts et bridges qui sont nettement plus petits, sur lesquelles je ne vais pas m’attarder, du fait que la qualité est nettement moindre par rapport aux capteurs de plus grande taille.

La taille (le format) du capteur a des conséquences sur les images que vous allez prendre, mais aussi sur le choix de votre objectif.

Pourquoi ? Parce que le format du capteur influence la longueur focale apparente.

Qu’est-ce qu’une longueur focale ?

La longueur focale (ou tout simplement « la focale ») est une des caractéristiques principales d’un objectif. Elle se mesure en millimètres et représente la distance qui sépare un sujet situé à l’infini du centre optique de l’objectif.

Longueur focale
Longueur focale et angle de vue

La longueur focale d’un objectif (appelée également « distance focale » ou « focale ») ne changera pas si vous montez le même objectif sur différents appareils. En revanche, la longueur focale apparente changera avec un capteur de format différent, pour un même objectif utilisé (avec une longueur focale constante).

Plus votre capteur est de petit format, plus la focale apparente augmente. Cela veut dire que plus votre sujet sera grossi par rapport à la réalité, alors que l’angle de prise de vue sera, au contraire, diminué.

Admettons que vous souhaitez prendre une photo grand angle (un paysage dans son ensemble d’objets relativement rapprochés dont vous ne pouvez pas vous éloigner beaucoup). Dans ce cas, vous avez besoin d’un objectif à longueur focale courte. Pour les capteurs plus petits que le « plein format », les objectifs grand-angle seront moins grand angle (c’est, donc, un désavantage pour une photo de paysage).

Si vous souhaitez prendre en photo un objet rapproché avec un cadrage plus serré, dans ce cas l’effet de téléobjectif sera potentialisé par un format de capteur plus petit que le « plein format ». C’est, donc, un avantage pour la photo animalière.

Voilà pourquoi le format du capteur peut être un facteur important dans le choix de votre boîtier d’appareil photo et de vos objectifs.

Matériel photo rétro
Image par analogicus de Pixabay

En réalité la longueur focale indiquée sur l’objectif est moins importante que l’angle de vue réel sur votre appareil, une fois l’objectif en place. Prenez en considération le format de votre capteur dans le choix de votre matériel photo (boîtier et objectifs).

Stella Nedelcheva

Temps de pause – J 170 / 365 jours de photographie zen

La Mer Noire
La Mer Noire

La Mer ! Même en hiver quand ses plages sont vides et ses eaux se font peu accueillantes, la mer évoque pour moi les vacances. Elle m’invite à faire une pause, à contempler quelques instants le va-et-vient de ses vagues, à faire le point sur ma vie, à réfléchir sur mes projets. Est-ce pour continuer à naviguer plus en conscience, est-ce pour m’appeler à de nouveaux voyages ?… Quoi qu’il en soit ce temps de pause est souvent nécessaire pour mieux reprendre notre route.

Osons prendre quelques jours de vacances quand nous sentons que cela nous est vraiment nécessaire. Osons briser un peu la routine, pour mieux reprendre nos projets en les faisant évoluer.

Puisque j’applique tous les conseils que je donne à mes lecteurs, moi-aussi, je prendrai quelques jours de pause avec mon défi de 365 jours de photographie zen. Me voilà presque à la moitié de mon parcours, me voilà remplie de nouvelles idées pour faire évoluer cette aventure. 365 jours, c’est long et c’est facile de entrer dans une routine. Mais non ! Justement, faisons de ce défi une opportunité de s’élever par l’art encore plus active, plus inspirante et plus passionnante ! 

Alors, rendez-vous dans dix jours avec la suite du défi de 365 jours de photographie zen qui vous réserve quelques surprises !

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Bien à vous

Stella

Face à l’horizon – J 169 / 365 j. de photographie zen

La Mer Noire
Face à l’horizon au bord de la Mer Noire

J’aime laisser mon regard se perdre sur l’horizon infini de la mer. Cet espace sans limites, sans cloisons, où ciel et mer se miroitent l’un dans l’autre jusqu’à se fondre à certaines heures de la journée, ouvre ma conscience à l’infini, à une dimension de moi-même au-delà de ma réalité humaine.

Aujourd’hui, osons plonger nos regards vers l’infini. Imaginons un paysage ouvert, avec une ligne d’horizon libre de tout obstacle. Puis, osons rêver ! Et, comme le suggère Saint Exupéry, cherchons comment faire de notre vie un rêve et de nos rêves une réalité. Après avoir rêvé, mettons-nous en action et plantons quelques graines pour faire germer nos rêves dans la réalité.

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Bien à vous

Stella

Le regard des animaux – J 168 / 365 j de photographie zen

Deux chats
Un chat curieux

Le regard des animaux peut exprimer tant de choses. Sans dire un mot, ils sont capable de communiquer si subtilement, ne serait-ce que par leur présence et par leur attitude.

On sait que la vie animale n’est pas la plus heureuse, ni la plus facile sur cette terre. On sait aussi que nous, les êtres humains, nous avons une responsabilité envers cette vie.

Aujourd’hui, consacrons un peu de temps pour rendre service à cette vie animale. Il existe de multiples façons pour le faire. Si vous avez un animal domestique, consacrez-lui un peu plus d’attention, de soins, de caresses… Sinon, allez nourrir les chevaux ou les canards, observez les poissons et envoyez-leurs des pensées d’amour… Sensibilisez des enfants autour de vous sur la protection et les soins qui peuvent être apportés aux animaux. Si vous n’êtes pas végétarien, passez une journée ( et pourquoi pas plusieurs ) sans manger de la viande. Si vous êtes croyant, offrez une prière pour un animal en particulier ou la vie animale en général.

Je suis souvent surprise par la grande sensibilité des animaux à nos ressentis et à nos intentions envers eux.

Et en bonus aujourd’hui: Silent Night, apprécié grandement par un chat. Et oui, tout le monde a le droit de fêter Noël, même les animaux !

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Stella

Mignon – J 167 du défi 365 jours de photographie zen

Petit chat mignon
Petit chat mignon

Ce petit chat tout ordinaire, et pourtant si mignon, m’a attendri et je n’ai pu que m’arrêter pour passer un moment en sa présence et le prendre en photo.

Cela peut sembler magique comment les petites choses  qui ont l’air mignon peuvent apporter de la paix et de la joie, remplir nos cœurs de tendresse, arracher des sourires, réduire des tensions, adoucir notre humeur. Pleines de charisme, elles sont comme des aimants à caresses.

Aujourd’hui, cherchons au moins trois choses mignonnes dans notre environnement et passons un moment à les observer, à jouer avec elles, à les dessiner ou à les photographier… Prenons conscience du bien-être que ce moment nous apporte.

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Stella

Résistance et souplesse – J 166 / 365 j. de photographie zen

Arbre au bord de la mer Noire en hiver
Arbre au bord de la mer Noire en hiver

Quand je vois les arbres, je pense souvent à leur destinée. Ils sont plantés quelque part et quelque soient les conditions de vie, ils sont obligés de s’y faire, de s’adapter et d’enjoliver notre environnement avec leur charme. Résistance et souplesse: deux qualités qui les aident tant à survivre, à se développer et à accomplir leur vie.

Réfléchissons aujourd’hui comment ces deux qualités peuvent nous aider pour sortir victorieux de nos épreuves individuelles, ou pour accomplir les objectifs qui nous tiennent à cœur.

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Stella

Goéland – J 165 du défi 365 jours de photographie zen

Vol d’un goéland dans le ciel
Goéland

J’ai pris tant de plaisir à observer et à photographier les goélands au bord de la mer Noire à Varna. En effet, ces oiseaux ont une certaine grâce dans le vol, un caractère libre, une voix qui porte et une détermination parfois stupéfiante quoique prudente. Ils sont peu peureux, mais gardent toujours une distance avec l’être humain.

Symbole de liberté et d’indépendance, le goéland sais profiter de l’horizon. Il se donne le temps d’observer le paysage d’en haut et sait être opportuniste.

Prenons le temps d’observer notre vie d’en-haut, avec beaucoup de détachement. Considérons la vue d’ensemble de tout ce qui se présente actuellement dans notre vie: endroits, personnes, défis, obstacles, rencontres, événements, opportunités… Un peu comme sur une carte géographique, découvrons les liens qui unissent tous les éléments. Gardons notre conscience ouverte et notre intuition en éveil. C’est notre présent, notre vie, qui se trouve sous notre regard conscient. Décidons ce que nous voulons en faire, où aller en premier, quel défi relever ou qu’elle opportunité saisir…

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Bien à vous

Stella